Ukraine : une guerre américaine de plus ? – Pierre De Gaulle dans Le Samedi Politique

Ukraine : une guerre américaine de plus ? – Pierre De Gaulle dans Le Samedi Politique

La guerre en Ukraine a mis en évidence la dérive européenne. L’OTAN et les États-Unis, dont les financements, les armes, les renseignements et la logistique fournis à Kiev prouvent l’affrontement contre la Russie, sont parvenus à instaurer aux portes de l’Europe une guerre fratricide et meurtrière. Face à cet élan suicidaire, l’Union européenne suit pour son plus grand malheur.

La France, loin de sa politique non-alignée chère au général De Gaulle, embrasse en tout point les obsessions de Bruxelles souvent dictées par Washington. Ses finances sont sous tutelle avec une dette explosive qui la place entre les mains des créanciers internationaux. Son indépendance, acquise notamment par un travail visionnaire sur le nucléaire civil, a été démantelée par des hommes politiques défendant des intérêts étrangers.éaire civil, a été démantelée par des hommes politiques défendant des intérêts étrangers.

 

Dans la lignée de son grand-père, Pierre De Gaulle s’exprime pour redonner à la France l’envie d’être elle-même : une puissance indépendante sachant défendre les intérêts de son peuple. Il livre sa lecture de la guerre en Ukraine qui rompt les liens historiques entre Paris et Moscou et dénonce une attitude dangereuse de surenchère meurtrière. Il est temps pour la France de retrouver le chemin de son histoire.

3 réflexions sur “Ukraine : une guerre américaine de plus ? – Pierre De Gaulle dans Le Samedi Politique”

  1. Bonjour Monsieur, nous vous écoutons avec beaucoup d’intérêt et de respect et espérons qu’enfin un homme de votre envergure pourra nous aider à sortir de ce marasme. Respectueusement.

  2. Je suis au patriote de Florian Philippot mais en faite c’est vous et rien que vous qui pouvez nous sauver et nous relancer Mr Pierre Charles de Gaulle.

  3. Prieur christiane

    Monsieur,
    J”avais 20 ans quand votre grand-père a quitté ce monde. Nous le venérions dans notre famille. Je suis si peinée de voir ce que la France si chère à son cœur est devenue. J’écoute vos interview avec beaucoup d’espoir et viens de relire ses mémoires pour me redonner du courage.
    Merci. Respectueusement.

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